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1000 ans de sciences. XVIIè siècle
In Les Cahiers de Science et vie, 45 (juin 1998), 96 p. : ill. Au XVIIè siècle on ne fait pas de la science de la même façon de part et d'autre de la Manche. Pourtant, on partage des convictions identiques sur son utilité, sur le modèle de fonctionnement de la nature et sur les moyens de le connaître : l'observation et l'expérience. Au rationalisme français s'oppose l'empirisme britannique. Du côté des institutions, la Royal Society, fondée à Londres en 1660, et l'Académie royale des sciences fondée en 1666. Alors que dans les deux pays, guerres civiles et crise des croyances ont, dans la première moitié du XVIIè siècle, fait vasciller les institutions, les sorties de crise ont emprunté des voies opposées : monarchie parlementaire en Angleterre, monarchie absolutiste en France. |
« 1000 ans de sciences. XVIIè siècle »
in Les Cahiers de Science et vie, 45 (juin 1998), 96 p. : ill.
Titre : | XVIIè siècle (1998) |
Titre de série : | 1000 ans de sciences |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Les Cahiers de Science et vie (45, juin 1998) |
Article : | 96 p. : ill. |
Descripteurs : | |
Résumé : |
Au XVIIè siècle on ne fait pas de la science de la même façon de part et d'autre de la Manche. Pourtant, on partage des convictions identiques sur son utilité, sur le modèle de fonctionnement de la nature et sur les moyens de le connaître : l'observation et l'expérience. Au rationalisme français s'oppose l'empirisme britannique. Du côté des institutions, la Royal Society, fondée à Londres en 1660, et l'Académie royale des sciences fondée en 1666. Alors que dans les deux pays, guerres civiles et crise des croyances ont, dans la première moitié du XVIIè siècle, fait vasciller les institutions, les sorties de crise ont emprunté des voies opposées : monarchie parlementaire en Angleterre, monarchie absolutiste en France. |
Nature du document : | documentaire |