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La nature et le principe de moindre action
In Les Cahiers de Science et vie, 68 (avril 2002), 96 p. : ill. Dès la moitié du XVIIe siècle, la conception mécaniste du monde essuie ses premières critiques. Mais, pour résoudre ce genre de question, pour le formaliser même, il faut posséder tout un appareil algébrique qui ne voit le jour qu'au XVIIIe siècle. A la suite de la création du calcul infinitésimal par Leibniz, et à l'occasion de questions d'optique soulevées au départ par Fermat, un petit nombre de mathématiciens, dont Euler et Lagrange, pour ne citer que les plus éminents, élaborent les outils nécessaires à la résolution de ces problèmes. |
« La nature et le principe de moindre action »
in Les Cahiers de Science et vie, 68 (avril 2002), 96 p. : ill.
Titre : | La nature et le principe de moindre action (2002) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Les Cahiers de Science et vie (68, avril 2002) |
Article : | 96 p. : ill. |
Descripteurs : | |
Mots-clés: | Descartes, René : 1596-1650 / Leibniz, Gottfried Wilhelm : 1646-1716 / Fermat, Pierre de / Bernoulli, Daniel / Bernoulli, Jean / Bernoulli, Jacques / Huygens, Christiaan : 1629-1695 / Newton, Isaac : 1642-1727 / Euler, Léonhard / Lagrange, Joseph Louis de / Maupertuis, Pierre Louis Moreau de : 1698-1759 / Voltaire : 1694-1778 |
Résumé : |
Dès la moitié du XVIIe siècle, la conception mécaniste du monde essuie ses premières critiques. Mais, pour résoudre ce genre de question, pour le formaliser même, il faut posséder tout un appareil algébrique qui ne voit le jour qu'au XVIIIe siècle. A la suite de la création du calcul infinitésimal par Leibniz, et à l'occasion de questions d'optique soulevées au départ par Fermat, un petit nombre de mathématiciens, dont Euler et Lagrange, pour ne citer que les plus éminents, élaborent les outils nécessaires à la résolution de ces problèmes. |
Nature du document : | documentaire |