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Divertir pour dominer : la culture de masse contre les peuples
Éd. l'Échappée, 2010, 268 p. (Pour en finir avec (Paris. 2005)) Le développement de la culture de masse a entraîné lérosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit dun monde artificiel dindividus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système dexploitation économique, il représente un « fait social total ». Il ne tient que sur lintériorisation dun imaginaire et grâce au développement dune culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme laffranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe à la domestication des peuples. |
Divertir pour dominer : la culture de masse contre les peuples.
Éd. l'Échappée, 2010, 268 p.
(Pour en finir avec (Paris. 2005)).
Titre : | Divertir pour dominer : la culture de masse contre les peuples |
Auteurs : | Offensive, Directeur de publication, rédacteur en chef |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Montreuil : Éd. l'Échappée, 2010 |
Collection : | Pour en finir avec (Paris. 2005), ISSN 1775-1802 |
ISBN/ISSN : | 978-2-915830-22-4 |
Format : | 268 p. |
Note générale : | Notes bibliogr. |
Index. décimale : | 306 (Culture. Institution sociale. Comportement culturel) |
Descripteurs : | |
Résumé : | Le développement de la culture de masse a entraîné lérosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit dun monde artificiel dindividus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système dexploitation économique, il représente un « fait social total ». Il ne tient que sur lintériorisation dun imaginaire et grâce au développement dune culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme laffranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe à la domestication des peuples. |
Nature du document : | documentaire |
Discipline : | SES (Sciences Economiques et Sociales) |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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011902 | 306.4 DIV | livre documentaire | CDI | documentaire | Disponible |