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Ce dont on ne peut parler, il faut le taire... ou bien le filmer. Les vierges folles des années 60
de Philippe Fraisse, Diane Arnaud In Positif, 581-582 (07/2009), p.21-27 Présentation, en 2009, de la folie comme thème de films à travers l'irrationalité de la vie quotidienne, du réel : "L'Empire des sens" de Nagisa Oshima, "Freaks" de Tod Browning, "Persona" d'Ingmar Bergman, "Blue Velvet" de David Lynch, "Monty Python, sacré Graal" de Terry Jones. Présentation de la folie exprimée par les femmes dans les films des années 1960 : Deborah Kerr dans "Les Innocents", Julie Harris et Claire Bloom dans "La maison du diable", Harriet Andersson dans "A travers le miroir", Catherine Deneuve dans "Répulsion". |
Fraisse Philippe, Arnaud Diane.
« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire... ou bien le filmer. Les vierges folles des années 60 »
in Positif, 581-582 (07/2009), p.21-27.
Titre : | Ce dont on ne peut parler, il faut le taire... ou bien le filmer. Les vierges folles des années 60 (2009) |
Auteurs : | Philippe Fraisse, Auteur ; Diane Arnaud, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Positif (581-582, 07/2009) |
Article : | p.21-27 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | |
Résumé : | Présentation, en 2009, de la folie comme thème de films à travers l'irrationalité de la vie quotidienne, du réel : "L'Empire des sens" de Nagisa Oshima, "Freaks" de Tod Browning, "Persona" d'Ingmar Bergman, "Blue Velvet" de David Lynch, "Monty Python, sacré Graal" de Terry Jones. Présentation de la folie exprimée par les femmes dans les films des années 1960 : Deborah Kerr dans "Les Innocents", Julie Harris et Claire Bloom dans "La maison du diable", Harriet Andersson dans "A travers le miroir", Catherine Deneuve dans "Répulsion". |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Article de périodique |